Cantiques pour les enfants - Paroles seules
Table des matières :
Série 01 à 09
De Dieu la parole
Éclaire le cœur,
Réjouit, console,
Conduit au bonheur.
Dès notre jeune âge
Écoutons sa voix :
C’est le saint message
Du grand Roi des rois.
Dieu, dit le saint Livre,
Nous donne un Sauveur,
Dont la mort délivre
Le pauvre pécheur.
C’est son Fils lui-même
Qu’il livra pour nous ;
Combien il nous aime !
À lui venons tous.
Jésus nous appelle :
« Venez », a-t-il dit.
Son amour fidèle
Au ciel nous conduit.
Célébrons sa grâce,
Chantons son amour ;
Marchons sur sa trace
Vers le saint séjour.
Dieu nous accorde ces instants
Passés devant sa face ;
Bénis entre beaucoup d’enfants,
Soyons reconnaissants !
Que Dieu rende efficace
Sa parole de grâce,
Puisqu’il daigne encore aujourd’hui
Nous attirer à lui.
Refrain :
Oh ! quel parfait bonheur !
Quel bonheur ! quel bonheur !
Oh ! quel parfait bonheur
Nous offre le Seigneur !
Il donne sa parole,
Qui guide et qui console,
Qui nous dit que le bon Sauveur
A sauvé le pécheur.
Ah ! puissions-nous vraiment saisir
Ce bienheureux message ;
Y mettre tout notre plaisir,
Croire, aimer, obéir.
Le Seigneur encourage
Les enfants de notre âge ;
Il est l’Ami plein de douceur,
Il est humble de cœur.
Oh ! quel parfait bonheur ! etc.
Sauveur plein de tendresse,
Daigne écouter les chants
Qu’offrent dans leur faiblesse,
Quelques jeunes enfants.
Tu vas nous faire entendre
Ta parole en ce jour :
Donne-nous de comprendre
Ta grâce et ton amour.
En toi seul est la vie,
Le pardon et la paix,
Et ta voix nous convie
À goûter ces bienfaits.
Que notre âme docile
Réponde à ton amour,
Et, sous ton joug facile,
Se range chaque jour.
En quittant l’école
Ah ! n’oublions pas
La sainte parole
Pour guider nos pas.
Seigneur, que ta crainte
Nous suive partout,
Et que ta voix sainte
Nous dirige en tout.
Vers Jésus, sans cesse
Élevons nos yeux,
Et, dans sa tendresse.
Nous serons heureux.
Chantons la clémence,
Chantons la grandeur
Et l’amour immense
De notre Sauveur.
Ô Seigneur ! bénis la parole
Que nous allons [ou : venons d’] ouïr ;
Ne permets pas qu’elle s’envole
De notre souvenir.
Fais en nous germer la semence
Que répandra [ou : répandit] ta main ;
Garde nos cœurs de l’influence
Du monde et du malin.
Et qu’ainsi ton saint Évangile,
Pénétrant notre cœur,
Chaque grain en rapporte mille,
À ta gloire, ô Seigneur !
Bon Sauveur, Berger fidèle,
Conduis nos pas chaque jour,
Et, pour la vie éternelle,
Garde-nous dans ton amour.
Refrain :
Béni sois-tu, tendre Maître !
Jésus, nous sommes à toi ;
Qu’à toi seul nous voulions être :
Soutiens notre faible foi.
Toi, qui nous reçois par grâce,
Bien que petits et pécheurs,
Par ta puissante efficace
Près de toi garde nos cœurs.
Béni sois-tu, tendre Maître ! etc.
Bon Sauveur, Berger fidèle,
Pour que nous suivions tes pas,
Remplis notre âme de zèle
Et porte-nous dans tes bras.
Béni sois-tu, tendre Maître ! etc.
Jésus frappe à votre porte,
Son grand salut Il apporte.
Que ferez-vous de son appel ?
Que ferez-vous de son appel ?
Seigneur, par ta sagesse,
Dirige-moi ;
Forme, par ta tendresse,
Mon cœur pour toi.
Je ne pourrais rien faire
Seul ici-bas ;
Que ta main tutélaire
Guide mes pas.
Protège dans ta grâce
Mon faible cœur ;
Qu’il suive en paix ta trace
Ô mon Sauveur !
En pleurs ou dans la joie
Que ton amour
Illumine ma voie
Jour après jour.
Pour moi l’aurore
D’un nouveau jour
Se lève encore
Dans ce séjour.
Sur ton enfant,
Ô Dieu clément !
Dès le matin
Pose ta main ;
Verse en mon âme
Ta douce paix ;
Mon cœur réclame
Tous tes bienfaits.
Oh ! fais que je t’aime,
Seigneur, toujours plus,
Car le bien suprême,
C’est l’amour de Jésus.
J’ai deux petits yeux pour lever au ciel
Et deux lèvres pour louer l’Éternel,
J’ai deux oreilles pour écouter Dieu,
Deux petits pieds pour le suivre en tout lieu,
Deux petites mains pour plaire au Seigneur,
Et pour bien l’aimer, j’ai mon petit cœur !
Maître débonnaire
Qui portas mes maux,
Je suis ton salaire
Pour tous tes travaux.
J’étais misérable,
Mais je suis à toi :
Ta grâce ineffable
A tout fait pour moi.
Garde en ta clémence
Mon âme à jamais,
Dans la jouissance
De ta douce paix :
Soutiens ma faiblesse,
Guéris ma langueur,
Et tiens-moi sans cesse
Bien près de ton cœur.
Seigneur Jésus, en toi j’espère,
Toi le Dieu fort et tout-puissant !
Tu peux exaucer la prière
Que te présente — un jeune enfant. (bis)
Seigneur, tu connais ma faiblesse ;
Autour de moi tout est danger ;
Garde-moi donc dans ta tendresse,
Près de ton cœur, — ô bon Berger ! (bis)
Que ton bâton, que ta houlette,
Soient toujours mes fermes soutiens ;
Je ne craindrai pas la disette :
Ô mon Sauveur, — je t’appartiens. (bis)
Auprès de la source d’eau vive,
Conduis mes pas, ô bon Pasteur !
Pour toi seul que mon âme vive,
Que t’aimer soit — tout mon bonheur. (bis)
Seigneur ! sanctifie
Nos jours, nos moments ;
Fais que notre vie
T’honore en tout temps.
Que de ta présence
Au milieu de nous,
L’heureuse influence
Nous pénètre tous.
Puissions-nous sans cesse
Marcher par la foi,
Et dans la détresse
Regarder à toi !
Heureux qui repose
Sur ton bras puissant !
On a toute chose
En te possédant.
Connais-tu le bon Berger,
Le Seigneur Jésus qui t’aime ?
Son cœur ne saurait changer :
Crois à son amour suprême.
C’est lui, le Sauveur divin,
Dont la mort sur le Calvaire
T’acquit un bonheur sans fin
Dans la maison de son Père.
Viens à lui, viens sans tarder :
Sa grâce aujourd’hui t’attire.
Te sauver et te garder
Est ce que Jésus désire.
Nul enfant n’est trop petit
Pour la route étroite ;
Jésus même l’y conduit,
Et marche à sa droite ;
{Même le plus jeune cœur
Peut être un temple au Seigneur.} (bis)
Ce sont aussi les petits
Que Jésus convie,
Et dont les noms sont écrits
Au livre de vie.
{Dans les parvis éternels,
Dieu reçoit ceux qui sont tels.} (bis)
Et, dans les concerts des cieux,
Leurs voix enfantines
Uniront leurs sons joyeux
Aux hymnes divines.
{Petits et grands, d’un seul cœur,
Loueront alors le Seigneur.} (bis)
Venez au Prince de la vie,
Accourez tous à Jésus-Christ !
Lui-même aujourd’hui vous convie
Par sa parole et son Esprit.
Refrain :
Qui se confie en sa bonté
De lui n’est jamais rejeté. (bis)
Jésus-Christ, par son sacrifice,
Sur la croix autrefois offert,
Est devenu votre justice :
Par lui le ciel vous est ouvert.
Qui se confie en sa bonté etc.
Venez donc avec confiance
Recevoir la vie et la paix ;
Sauvés par lui, par sa puissance,
Vous serez heureux à jamais.
Qui se confie en sa bonté etc.
Petit enfant, Jésus t’appelle ;
Son cœur te veut dès maintenant :
Accours à ce Sauveur fidèle,
Petit enfant, petit enfant.
Petit enfant, Jésus-Christ t’aime :
Il a versé pour toi son sang ;
Il veut t’avoir dans son ciel même,
Petit enfant (bis).
Petit enfant, ta frêle vie
Peut n’avoir plus qu’un court moment ;
Qu’à Jésus ton cœur se confie,
Petit enfant (bis).
Petit enfant, près de son Père,
Son tendre amour te conduisant,
Tout sera paix, joie et lumière,
Petit enfant (bis).
Enfants, il est une fête,
Que, dans son immense amour,
Le Seigneur Jésus apprête
Au ciel, son heureux séjour.
Il ne veut pas que personne
Soit exclu du grand festin ;
À celui qui vient, il donne
Libre accès, bonheur sans fin.
À cette divine grâce
Répondons d’un cœur joyeux,
Et venons prendre la place
Que Jésus nous offre aux cieux.
Aux enfants de votre âge
Comme aux anciens bergers,
S’adresse le message
Des divins messagers.
Un Sauveur qui vous aime,
Et veut vous rendre heureux,
Le Fils de Dieu lui-même,
Est descendu des cieux.
Il veut, lui dont les anges
Proclament la grandeur,
Accepter les louanges
D’un pauvre enfant pécheur.
Lui-même vous convie
Avec tant de douceur :
Il vous donna sa vie,
Donnez-lui votre cœur.
À son appel si tendre
Quel cœur peut se fermer ?
Ah ! puissiez-vous l’entendre,
Croire en Christ et l’aimer.
Le Seigneur Jésus invite
Les plus petits venir,
Accourez, accourez vite
Dans ses bras : il veut bénir.
Accourez, accourez dans ses bras : il veut bénir.
Il donna pour vous sa vie ;
Sur la croix, il a souffert.
Pour vous, ô grâce infinie !
Pour vous, le ciel est ouvert.
Oui, pour vous (bis), pour vous, le ciel est ouvert.
Là, Jésus est sur son trône
Ceint de gloire et de beauté,
Vous gardant une couronne,
Une place à son côté.
Une place (bis), une place à son côté.
À ce Sauveur si fidèle,
Oh ! venez dès aujourd’hui.
Écoutez : Il vous appelle ;
Le bonheur est près de lui.
Accourez (bis) : le bonheur est près de lui.
Enfant, le connais-tu, le bien-aimé du Père,
Venu dans ces bas lieux, rempli de charité ;
Qui laissa son séjour de gloire et de lumière,
Et s’abaissa vers nous dans sa tendre bonté ?
Enfant, le connais-tu, celui qui, plein de grâce,
Parcourut son sentier essuyant tous les pleurs ;
Accueillant les petits, laissant partout la trace
D’un amour qui sauvait les plus vils des pécheurs ?
Enfant, le connais-tu, celui dont la couronne
Fut d’épines ceignant son divin front meurtri ;
À qui le monde impie a donné pour seul trône
La croix où s’exhala vers Dieu son dernier cri ?
Ah ! connais-tu Jésus et sa grâce suprême ?
C’est pour toi qu’il vécut ici-bas en souffrant ;
C’est pour toi qu’il est mort, ce Fils de Dieu qui t’aime ;
C’est pour te rendre heureux : le crois-tu, mon enfant ?
Venez au Sauveur qui vous aime,
Venez, il a brisé vos fers ;
Il veut vous recevoir lui-même ;
Ses bras vous sont ouverts.
Refrain :
Oh ! quel beau jour,
Sauveur fidèle,
Quand, nous appuyant sur ton bras,
Dans la demeure paternelle
Nous porterons nos pas !
Venez pécheurs, il vous appelle ;
Le bonheur est dans son amour.
Tournez vers lui ce cœur rebelle ;
Il sauve sans retour.
Oh ! quel beau jour, etc.
Le temps s’enfuit, l’heure s’écoule :
Qui sait si nous vivrons demain ?
Jésus est ici dans la foule ;
Jésus vous tend la main !
Oh ! quel beau jour, etc.
Ô vous qui n’avez pas la paix !
Venez, Jésus la donne.
Pure, profonde et pour jamais,
Venez, Jésus pardonne.
Quand Jésus remplit un cœur,
Il déborde de bonheur,
Et l’effroi ne l’atteint plus :
Gloire, gloire à Jésus !
Vous qui tombez à chaque pas,
Venez : Jésus délivre ;
Qui se repose sur son bras
Peut à toujours le suivre.
Quand Jésus remplit un cœur,
Il déborde de bonheur,
Car il ne chancelle plus :
Gloire, gloire à Jésus !
Vous qui craignez le lendemain,
Venez : Jésus rassure ;
Pas à pas, la main dans sa main,
La route devient sûre.
Quand Jésus remplit un cœur,
Il déborde de bonheur,
Et l’effroi ne l’atteint plus :
Gloire, gloire à Jésus !
Vous tous qui souffrez isolés,
Venez, Jésus vous aime ;
Pour le troupeau des désolés
Il s’est donné lui-même.
Quand Jésus remplit un cœur,
Il déborde de bonheur ;
Seul, oh non ! il ne l’est plus :
Gloire, gloire à Jésus !
Vous qui tremblez sous la terreur
Que la mort vous inspire,
Venez, Jésus le Rédempteur
A détruit son empire.
Avec lui nous revivrons,
Avec lui nous règnerons ;
Et la mort ne sera plus :
Gloire, gloire à Jésus !
Être un agneau
Du cher troupeau
De ce Berger fidèle,
Quelle douceur !
À ce bonheur
Lui-même vous appelle.
Pour être heureux,
Toujours joyeux,
En traversant la terre,
Venez à lui,
Dès aujourd’hui
Pour le suivre et lui plaire.
Il veut bénir
Dans l’avenir
Et vous donner sa gloire.
Entre ses bras
N’irions-nous pas
L’écouter et le croire ?
Ô cher Sauveur,
Pour le pécheur
Tu t’es offert toi-même ;
Quand je te vois
Souffrant la croix
Dis : Combien il nous aime !
Tous es matins, tous les soirs,
Pensons à Jésus !
Dans nos jeux et nos devoirs,
Pensons à Jésus !
À l’école, à la maison,
Rappelons-nous ce beau Nom !
Et soyons de jour en jour,
Tous heureux dans son amour,
Dans son amour.
Viens à Jésus, il t’appelle,
Il t’appelle aujourd’hui !
Trop longtemps tu fus rebelle :
Aujourd’hui, viens à lui !
Jésus t’aime, Jésus t’aime,
Jésus t’aime aujourd’hui !
Avec ta misère extrême,
Aujourd’hui, viens à lui !
Il pardonne, il pardonne,
Il pardonne aujourd’hui !
Reçois le salut qu’il donne :
Aujourd’hui, viens à lui !
Il efface, il efface
Tes péchés aujourd’hui !
Ce jour est un jour de grâce :
Aujourd’hui, viens à lui !
C’est encor temps ! l’Agneau de Dieu t’appelle
Aujourd’hui viens à la vie éternelle.
C’est Jésus ! réponds-lui :
Oh ! viens, entre aujourd’hui !
Pour le festin la salle est déjà prête ;
Les conviés se rendent à la fête.
Viens aussi, réponds-lui :
Oh ! viens, entre aujourd’hui !
Il se remplit, le palais de la grâce ;
Hâte-toi donc, il y reste encor place.
Viens à Christ, réponds-lui :
Oh ! viens, entre aujourd’hui !
C’est encor temps, car la porte est ouverte ;
Par le Sauveur l’entrée en est offerte.
Viens aussi, réponds-lui :
Oh ! viens, entre aujourd’hui !
Entre sans peur, c’est Jésus qui t’invite,
À son amour il n’est point de limite.
Viens à lui, réponds-lui :
Oh ! viens, entre aujourd’hui !
Le Seigneur nous appelle ;
Allons à lui !
Il est bon et fidèle,
Un sûr appui.
Le salut qu’il accorde,
Nul ne peut le ravir :
Plein de miséricorde
Il veut bénir.
Son amour est extrême :
Ce bon Sauveur
S’est dévoué lui-même
Pour le pécheur.
Oui, sur le bois infâme
Il a voulu mourir ;
Espère en lui, mon âme ;
Il veut bénir.
Enfants, célébrons du Sauveur
L’amour, la grâce et la grandeur ;
Rendons-lui de tout notre cœur
Hommage, gloire, honneur !
De Jésus proclamons l’amour :
Au ciel, son bienheureux séjour,
Il veut nous introduire un jour :
Attendons son retour !
Gloire à ton immense bonté !
Jésus, ton heureux racheté
Célébrera ta charité
Durant l’éternité.
Louons de tout notre cœur
Le Seigneur ;
Qu’envers lui le faible enfant
Soit reconnaissant.
Dans sa grandeur adorable
Ce Sauveur si charitable,
Prends soin de tous les petits,
Comme Il l’a promis.
De Jésus j’entends la voix —
Et je crois — :
« Laissez venir les enfants —
Simples, confiants.
Le règne de Dieu rassemble
Ceux dont le cœur leur ressemble ».
Oh ! bonheur ! sachons-le tous :
Jésus pense à nous.
Célébrons tous son amour
En ce jour ;
Que notre constant désir
Soit de le servir !
Ensemble suivons la trace
Du Sauveur qui, dans sa grâce,
Pour nous tous prêts à périr,
A voulu mourir.
Combien son amour pour nous
Nous est doux !
Faisons de ses soins touchants
L’objet de nos chants.
Pour nos fautes qu’il pardonne,
Pour cette paix qu’il nous donne,
Jusque dans l’éternité
Louons sa bonté.
Suivez, suivez l’Agneau jusqu’au soir de la vie ;
Suivez, suivez-le tous, enfants, dès le berceau.
Au bonheur des élus sa grâce vous convie :
Suivez, suivez toujours, Suivez toujours l’Agneau.
Suivez-le sans frayeur : au jour de la tristesse,
Apportez à Jésus votre pesant fardeau.
Suivez-le dans la paix au jour de l’allégresse :
Suivez, suivez toujours, suivez toujours l’Agneau.
Oui, suivez-le partout. Le berger qui vous mène
Ne saurait égarer son cher et faible agneau.
Le saint joug du Seigneur est la plus douce chaîne :
Suivez, suivez toujours, suivez partout l’Agneau.
Suivez-le sans broncher ; le chemin solitaire
Aboutira bientôt au céleste repos.
Jésus conduit au ciel qui le suit sur la terre :
Suivez, suivez toujours, suivez toujours l’Agneau.
Une bonne nouvelle
Descend des cieux.
Pécheur, Jésus t’appelle :
Lève les yeux.
Chargé de te misère,
De tes péchés confus,
Avec un cœur sincère,
Viens à Jésus.
Ce bon Sauveur lui-même
Te racheta ;
Il montra comme il t’aime
À Golgotha.
Au sang qui purifie
Les cœurs souillés, perdus,
Que ton cœur se confie :
Viens à Jésus.
De sa miséricorde
Jésus fait don ;
À qui croit, il accorde
Un plein pardon.
Hâte-toi, le temps passe,
Passe et ne revient plus ;
Aujourd’hui, jour de grâce,
Viens à Jésus.
Viens, que rien ne t’arrête,
Viens à l’instant ;
Ta délivrance est prête,
Jésus t’attend.
En lui, si tu veux croire,
Tes péchés ne sont plus,
Et tu peux chanter : Gloire,
Gloire Jésus !
Écoutez tous une bonne nouvelle :
C’est pour sauver que Jésus-Christ est mort !
Qui croit au Fils a la vie éternelle :
Notre salut est un don du Dieu Fort. (bis)
Ah ! recevez cette douce parole
Que l’Esprit Saint adresse à votre cœur.
C’est Jésus seul qui guérit et console :
Accourez tous vers ce divin Sauveur ! (bis)
Gloire à Dieu ! force, puissance,
Hommage, éternel honneur,
Amour et reconnaissance,
À Jésus-Christ le Sauveur !
Sauveur couronné d’épine,
Ton sang coula sur la croix
Et la colère divine
T’accabla de tout son poids !
Pour toi, Jésus, la souffrance,
Les pleurs, la mort, l’abandon !
Et pour nous la délivrance,
Le salut et le pardon !
Gloire à Dieu ! force, puissance,
Hommage, éternel honneur,
Amour et reconnaissance,
À Jésus-Christ le Sauveur !
À Jésus-Christ chantons un saint cantique
Pour exalter son amour magnifique :
Chantons du cœur
Le Dieu Sauveur.
Jésus jadis bénissait le jeune âge,
Toujours le même, il reçoit notre hommage :
Chantons du cœur
Ce bon Sauveur.
Bientôt au ciel où l’adorent les anges,
Tous réunis nous dirons les louanges
Du Dieu Sauveur :
Oh ! quel bonheur !
Chantons, chantons sans cesse
La bonté du Seigneur ;
Qu’une sainte allégresse
Remplisse notre cœur.
Un salut éternel
Est descendu du ciel :
Nous avons un Sauveur. (bis)
Ô bonheur ineffable,
Immense charité !
Dieu pardonne au coupable
Contre lui révolté.
Pour porter nos forfaits,
Pour sceller notre paix,
Jésus s’est présenté. (bis)
Au trône de la grâce,
Si nous levons les yeux,
Nous rencontrons la face
D’un Sauveur glorieux.
Pour nous, jusqu’à la fin,
Intercesseur divin,
Il est victorieux. (bis)
Bientôt, vêtu de gloire,
Du ciel il descendra ;
Consommant sa victoire,
Il nous délivrera.
Son heureux racheté,
Par lui ressuscité,
Tel qu’il est le verra. (bis)
Oh ! que ton nom, Sauveur fidèle,
À notre âme soit précieux !
Que constamment il nous rappelle
Que pour nous tu quittas les cieux.
À ta naissance les saints anges,
Venus du séjour éternel,
Font entendre un chant de louanges :
« Paix sur la terre et gloire au ciel ! »
Petit enfant, dans une étable,
Tu t’abaissas jusques à nous,
Dévoilant au cœur misérable
Ce que la grâce a de plus doux ».
C’était le cœur de Dieu lui-même
S’ouvrant à nos regards ravis,
Et disant : « Voyez, je vous aime ;
Car pour vous j’ai donné mon Fils ! »
Et tu parcourus sur la terre
Ta route, à tous faisant du bien,
Humble, patient, débonnaire,
Aux cœurs brisés ouvrant le tien.
Puis, sur la croix, dans la souffrance,
Comme un agneau tu t’es offert,
Pour qu’au croyant, plein d’assurance,
Le chemin vers Dieu fût ouvert.
Oh ! que ton nom, Sauveur fidèle !
Nous soit toujours plus précieux :
Que constamment il nous rappelle
Que tu vins nous ouvrir les cieux !
Louons Jésus par qui Dieu nous pardonne ;
Dans son amour il vint mourir pour nous ;
À tous les siens il promet la couronne,
Et pour leur cœur son joug est le plus doux.
Jésus, Jésus, garde en ton amour,
Jésus, Jésus, nos cœurs chaque jour.
Il veut au ciel, dans sa grâce suprême,
Autour de lui, bientôt nous réunir ;
C’est pour toujours que le Seigneur nous aime :
Puissions-nous tous à jamais le bénir !
Jésus, Jésus, garde en ton amour,
Jésus, Jésus, nos cœurs chaque jour.
Nous t’adorons, Seigneur de gloire,
Exalté plus haut que les cieux !
Nous célébrons, Dieu de victoire !
Ton nom à jamais glorieux !
À toi notre hommage,
À toi d’âge en âge,
La louange dans les hauts lieux !
Ô Roi des rois, ceint de puissance,
Qui vas paraître en ta beauté,
Tu fus ici, dans la souffrance,
Haï de tous et rejeté !
À toi notre hommage,
À toi, sans partage,
Louange dans l’éternité.
Ô Jésus, Prince de la vie !
Cloué sur un infâme bois,
Abandonné, dans l’agonie,
Tu souffris la mort de la croix !
Reçois notre hommage ;
Qu’à toi, d’âge en âge,
S’élèvent nos cœurs et nos voix.
Dans ta gloire et celle du Père,
Tu vas venir plein de splendeur,
Et, dans le ciel et sur la terre,
Tu règneras Christ et Seigneur !
Mais déjà notre âme,
Jésus, te proclame
Fils de Dieu, puissant Rédempteur !
Servons tous dès notre enfance
Notre adorable Sauveur ;
Il veut, dans sa grâce immense,
Nous donner le vrai bonheur.
Jésus est le meilleur Maître,
Son cœur aime les enfants ;
C’est à lui qu’on ne peut être
Ni trop tôt, ni trop longtemps.
Jésus bénit et protège
Ceux qui marchent par la foi ;
Il les garde de tout piège,
Dans leurs cœurs il met sa loi.
Heureux qui peut le connaître,
L’aimer et dire en tout temps :
C’est à lui qu’on ne peut être
Ni trop tôt, ni trop longtemps.
S’il veut bénir la jeunesse,
Il guide encor l’age mûr ;
Dans la paix, dans la détresse,
Il est l’abri le plus sûr.
À lui venons nous soumettre,
Et disons, toujours contents :
Qu’à Jésus on ne peut être
Ni trop tôt, ni trop longtemps.
Qui donc soutiendra ma faiblesse
Dans le danger ?
Qui donc pourra dans ma jeunesse
Me diriger ?
Qui me donnera dans la vie
Paix et bonheur ?
C’est l’Ami divin que je prie,
C’est le Sauveur.
Et bien que je ne sois encore
Qu’un jeune enfant,
Le Sauveur, quand ma voix l’implore,
Toujours m’entend.
Il sait si je verse des larmes
Ou suis joyeux,
Et peut dissiper mes alarmes
En tous les lieux.
Jésus qui m’aimes, qui m’appelles,
Ô mon Sauveur !
Viens par tes promesses fidèles
Former mon cœur.
Donne-moi ta douce assistance,
Guide mes pas ;
On repose avec assurance
Entre tes bras.
Heureux celui qui n’aspire
Qu’à suivre en paix le Seigneur !
Jésus l’attire
Avec douceur,
Et tout conspire
À son bonheur. (bis)
Le bon Berger qui l’appelle,
De tout péché l’affranchit.
Toujours fidèle,
Il l’affermit ;
D’un nouveau zèle,
Il l’enrichit. (bis)
Ton bras, Seigneur ! le protège :
Il trouve en toi son appui.
Satan l’assiège,
Mais devant lui
Tombe tout piège,
Ta face a lui. (bis)
Le bonheur, la paix que Jésus donne,
Joie immense ! inondent tout mon cœur.
Mes péchés, je sais qu’Il les pardonne
Et je me réjouis en mon Sauveur
Quel autre ai-je aux cieux ;
Quel autre en ces lieux,
Que toi, mon Sauveur !
Mon Berger, mon guide, l’ami de mon cœur ?
En toi, Dieu Sauveur !
J’ai la paix du cœur :
Tu fis tout pour moi :
Et sur ta justice se fonde ma foi.
Je vis donc en paix,
Parce que je sais
Que, même en la mort,
Christ est ma retraite, mon appui, mon fort.
T’aimer, Jésus, te connaître,
Se reposer sur ton sein :
T’avoir pour ami, pour maître,
Et pour breuvage et pour pain ;
Savourer en paix ta grâce ;
De ta mort, puissant Sauveur !
Goûter la sainte efficace,
Quelle ineffable douceur !
Ô bonheur inexprimable
De t’avoir pour son Berger !
Toujours tendre et secourable,
Ton cœur ne saurait changer.
Dans ta charité suprême,
Tu descendis ici-bas
Chercher tes brebis toi-même
Et les prendre dans tes bras.
Tu nous combles de tes grâces,
Tu nous connais nom par nom ;
Tu nous conduis sur tes traces
Vers la céleste maison.
Tu veux de notre faiblesse,
De tous nos maux t’enquérir ;
Quel amour ! Tu veux sans cesse
Nous pardonner, nous guérir.
Mon cœur joyeux, plein d’espérance,
S’élève à toi, mon Rédempteur !
Je connais ton amour immense,
Qui sauve à jamais le pécheur ;
En toi seul est ma confiance,
En toi seul est tout mon bonheur.
C’est vers ton ciel que, dans ma course,
Je vois aboutir tous mes pas.
De ton Esprit la vive source
Me rafraîchit quand je suis las ;
Et, dans le danger, ma ressource
Est dans la force de ton bras.
Le jour, je suis sous ta lumière ;
La nuit, je repose en ton sein.
Au matin, ton regard m’éclaire
Et me guide dans mon chemin ;
Et chaque soir, ô tendre Père,
Tu prépares mon lendemain.
Je vois ainsi venir le terme
De mon voyage en ces bas lieux,
Et j’ai l’attente vive et ferme
Du saint héritage des cieux :
Sur moi si la tombe se ferme,
J’en sortirai tout glorieux.
Oui, le souverain bien-être,
Le vrai bonheur ici-bas,
C’est d’avoir Jésus pour maître,
De le suivre pas à pas.
De l’amour dont il nous aime,
Rien ne peut rompre le cours ;
Il nous acquit pour lui-même,
Il est à nous pour toujours.
Jamais son amour fidèle
À nos vœux ne manquera :
C’est une source éternelle
Qui jamais ne tarira.
S’il veut que notre cœur l’aime
Sans partage, ni détour,
C’est qu’il est d’abord, lui-même,
Immuable en son amour.
Jésus m’aime,
Moi petit ;
Oui, lui-même
Me l’apprit.
Ma faiblesse
Trouve en lui
Paix, sagesse,
Tendre appui.
Jésus m’aime :
Qu’il est bon !
Le ciel même,
Le pardon,
(Grâce immense !)
Sont acquis
À l’enfance,
Aux petits !
Si je l’aime,
Quel bonheur !
Il veut même
Dans mon cœur
Faire luire
Son Esprit ;
Me conduire,
Moi petit.
Jésus m’aime ;
Il m’entend ;
Là haut même
Il m’attend,
Quelle grâce !
Oui, je vais
Voir sa face
Pour jamais.
Jésus, mon Fort et mon Rocher,
Mon grand Libérateur !
Quel ennemi peut m’approcher
Sous ton bras protecteur ?
Ta grâce, ô Dieu ! m’a pardonné,
Et ton ciel est à moi.
De ta puissance environné,
Je puis tout par la foi.
La délivrance est dans ton bras,
Et l’amour dans ton cœur.
Quel bonheur ! Toujours tu seras
Ma gloire et mon Sauveur !
Oh ! quelle paix parfaite
Dans tes bras, ô Jésus !
Mon âme satisfaite,
Là ne s’alarme plus.
Ton amour me console ;
C’est toi qui me défends ;
De ta douce parole
J’écoute les accents.
L’ennemi ne peut nuire
À qui reste en ton sein ;
Tout son effort expire
Sous ton pouvoir divin.
Oui, mon cœur est sans crainte,
Je suis en sûreté ;
De ton amour l’étreinte
Me tient bien abrité.
Avançons-nous joyeux, toujours joyeux,
Vers le séjour de tous les bienheureux,
Vers la demeure où Jésus pour nous prie,
Marchons, marchons, c’est là notre patrie ;
Avançons-nous joyeux, toujours joyeux,
Vers le séjour de tous les bienheureux.
Des chants d’amour retentiront aux cieux :
Quels doux concerts, — hymnes des bienheureux !
Nous prendrons part à la sainte harmonie
Quand nous aurons atteint notre patrie.
Avançons-nous, joyeux, toujours joyeux,
Vers le séjour de tous les bienheureux.
Oui, des hauts cieux, nous t’attendons, Seigneur,
Car c’est à toi qu’appartient notre cœur.
«Viens, ô Jésus !» c’est le cri de l’Église ;
«Recueille-nous dans la gloire promise.»
Là nous serons joyeux, toujours joyeux :
C’est le séjour de tous les bienheureux.
Heureux bientôt, dans un monde nouveau,
Nous chanterons les gloires de l’Agneau ;
Là plus de deuil, plus de cris, plus d’alarmes,
Plus de péché, de douleur, ni de larmes ;
Avec Jésus, joyeux, toujours joyeux,
Dans son amour nous serons bienheureux !
J’aime écouter le beau récit,
Quand les petits enfants,
Afin que Jésus les bénît,
S’approchaient confiants ;
Posant sa main pour les bénir,
Jésus dit : Laissez-les venir !
Et cette voix
S’adresse encore à moi petit ;
S’adresse à moi,
À moi petit.
Je suis heureux, car je le crois,
Jésus m’aime aujourd’hui,
Et les enfants comme autrefois,
Peuvent aller à Lui.
Il promet le royaume à ceux
Qui sont, dit-il, petits comme eux.
Oui, c’est pour moi,
Ce qu’ici-bas Jésus a dit.
Oui, c’est pour moi,
Pour moi, petit.
Tout entier pour Jésus Christ, je voudrais être,
Et n’avoir plus jamais honte d’un tel Maître ;
Confesser son Nom et souffrir, s’il le faut,
Ah ! je le pourrai par la force d’En-haut.
C’est Dieu qui nous aime,
Réjouissons-nous !
Son amour suprême
Nous embrasse tous.
Ô Dieu tutélaire !
Qui vois nos besoins,
Tu te montres Père,
Dans tes tendres soins.
Pendant le voyage
Ton cœur suit nos pas
Et nous encourage,
Quand nous sommes las.
Ton Esprit de grâce
Soutient notre cœur.
Nous fait voir ta face,
Ô notre Sauveur !
Ô Dieu d’espérance,
Dieu de charité !
Notre confiance
Est dans ta bonté.
Jésus est notre ami suprême.
Oh ! quel amour !
Mieux qu’un tendre frère il nous aime.
Oh ! quel amour !
Ici, famille, amis, tout passe ;
Le bonheur paraît et s’efface ;
Son cœur seul jamais ne se lasse.
Oh ! quel amour !
Il est notre vie éternelle.
Oh ! quel amour !
Célébrons son œuvre immortelle.
Oh ! quel amour !
Par son sang notre âme est lavée :
Au désert il l’avait trouvée,
Et dans sa grâce il l’a sauvée.
Oh ! quel amour !
Il s’est offert en sacrifice.
Oh ! quel amour !
Nous bénir est tout son délice.
Oh ! quel amour !
Qu’à sa voix notre âme attentive,
Toujours en paix, jamais craintive,
Près de son cœur doucement vive.
Oh ! quel amour !
Tel que je suis, sans rien à moi,
Sinon ton sang versé pour moi
Et ta voix qui m’appelle à toi,
Agneau de Dieu, je viens, je viens !
Tel que je suis, bien vacillant,
En proie au doute à chaque instant,
Lutte au-dehors, crainte au-dedans,
Agneau de Dieu, — je viens ! (bis)
Tel que je suis... Ton grand amour
A tout expié sans retour.
Je puis être à toi dès ce jour,
Agneau de Dieu, — je viens ! (bis)
Vers le ciel ! Vers le ciel !
Écoutons ce saint appel,
Et que notre cœur s’élance
Dans la joyeuse espérance
De te voir, Emmanuel.
Quel espoir, (bis)
Que celui, Christ, de te voir !
Oh ! que n’avons-nous des ailes…
Aux demeures éternelles,
Nous volerions dès ce soir !
Quel bonheur (bis)
Ineffable pour le cœur,
D’entrer dans la cité sainte !
Affranchis de toute crainte,
Tu nous y conduis, Seigneur.
J’entends, j’entends ! quel bonheur !
La voix, la voix du Sauveur.
Jésus vient m’offrir sa grâce
Qui délivre le pécheur ;
Il veut occuper la place
Dans ma vie et dans mon cœur.
Jésus, Jésus ! bon Sauveur !
Pour toi, pour toi, prends mon cœur.
Viens y faire ta demeure,
Ta demeure pour jamais ;
Et, jusqu’à ma dernière heure,
Qu’il soit rempli de ta paix.
Bientôt, bientôt, dans les cieux,
Jésus, Jésus, tous heureux,
Nous chanterons tes louanges
Et nous dirons ta bonté,
Plus près de toi que les anges
Dans toute l’éternité.
Il est un sentier de lumière,
De paix et de sécurité,
Qui nous fait traverser la terre,
Le cœur heureux, en liberté.
C’est une voie étroite et sainte,
Loin du monde, loin du péché,
Mais d’où l’amour bannit la crainte :
Jésus lui-même y a marché.
C’est le sentier que, sur la terre,
Nous ouvrit son immense amour,
Où de sa face la lumière
Plus brillante croît chaque jour.
Jusqu’au moment où, vers son trône,
Nous irons, loin de ce bas lieu,
Dans le séjour où tout rayonne
De la gloire du Fils de Dieu.
Il est un roc séculaire
Que Dieu, pour mon cœur lassé,
Comme un abri tutélaire,
Au sein des flots a placé.
Refrain :
Mon rocher, ma forteresse,
Mon asile protecteur,
Mon recours dans la détresse,
C’est Jésus le Rédempteur.
À mes pieds l’océan gronde,
Le vent siffle autour de moi :
Sur Christ, mon rocher, je fonde
Mon espérance et ma foi.
Mon rocher, etc.
En vain l’ouragan fait rage
Et nulle clarté ne luit ;
Paisible au sein de l’orage,
J’attends l’aube après la nuit.
Mon rocher, etc.
Jouet de l’onde agitée,
Cet abri, l’as-tu trouvé ?
Viens, pauvre âme tourmentée.
Au rocher qui m’a sauvé.
Mon rocher, etc.
Si vous saviez quel Sauveur je possède !
Il est l’Ami le plus tendre de tous.
Il sympathise, il prie, il intercède.
Oh ! je voudrais qu’il fût aussi pour vous !
Refrain :
Mon Sauveur vous aime,
Ah ! cherchez en lui
Votre Ami suprême,
Votre seul appui.
Si vous saviez la paix douce et profonde
Que le Sauveur dans mon âme apporta !
Céleste paix que méconnaît le monde,
Elle jaillit pour vous de Golgotha.
Mon Sauveur vous aime, etc.
Si vous saviez quelle douce espérance
Le Dieu de paix fait rayonner des cieux !
Combien sa voix sait calmer la souffrance,
Et son regard rendre le cœur joyeux !
Mon Sauveur vous aime, etc.
Quand vous saurez combien Jésus vous aime,
Quand vous saurez combien son joug est doux,
Ne gardez pas ce trésor pour vous-même,
Mais proclamez ce qu’il a fait pour vous !
Mon Sauveur vous aime, etc.
Quelques mots à Jésus, oui quelques mots souvent,
Et savoir tout lui dire, oh ! que c’est bienfaisant !
Nos troubles, nos ennuis, souvent nous l’avons vu,
S’apaisent vite après quelques mots à Jésus.
Quelques mots à Jésus, quand on est affligé,
Quand on a fait du mal et qu’on en est fâché,
Oui, ces mots de regrets, enfants, n’hésitons plus,
Pour être pardonnés, disons-les à Jésus.
Quelques mots à Jésus, au milieu du bonheur,
Lui répéter souvent: Merci, merci, Seigneur !
Voilà ce qui lui plaît, son coeur en est ému ;
Ah! sachons dire ces quelques mots à Jésus !
Tu vins du ciel, Berger fidèle,
Chercher ici-bas tes brebis,
{Leur donner la vie éternelle
Et les conduire au Paradis.} (bis)
Pour elles tu laissas ta vie
Et tu les gardes dans ton sein ;
{Au Père ton cœur les confie :
Qui les ravira de sa main ?} (bis)
Donne-nous de suivre ta trace,
Écoutant ta voix, ô Jésus !
{Jusqu’au moment où, par ta grâce,
Dans ton ciel nous serons reçus.} (bis)
Ancien 59
Chaque jour de ma vie,
Ô Jésus, mon Sauveur !
Donne-moi, je te prie,
De goûter ta faveur.
Dès que le jour commence,
Ô Jésus, mon Sauveur !
Tiens-moi dans ta présence,
Loin du mal, de l’erreur.
Et pendant la journée,
Ô Jésus, mon Sauveur !
Toi qui me l’as donnée,
Garde mon faible cœur.
Puis quand vient la nuit sombre,
Ô Jésus, mon Sauveur !
Tu me vois dans son ombre,
Et je n’ai point de peur.
Qu’ainsi sur cette terre,
Ô Jésus, mon Sauveur !
Conduit par ta lumière,
Je goûte le bonheur.
Quand Jésus suivit le chemin de la mort,
C’était pour moi, (bis)
Pour me délivrer de mon terrible sort,
Jésus souffrit pour moi.
Une belle patrie,
Rassemble aux cieux,
Pour l’éternelle vie,
Les bienheureux.
Sauvés par la victoire
Du divin Rédempteur,
Comme ils chanteront : Gloire,
Gloire au Sauveur !
Le Fils de Dieu lui-même
Vint des hauts cieux
Vers ce séjour suprême
Tourner nos yeux.
Gardons bien la mémoire
De l’amour du Seigneur,
Et déjà disons : Gloire,
Gloire au Sauveur !
Jésus, loin de la terre,
Nous ravira ;
Dans la maison du Père,
Il nous prendra.
Oh ! quel bonheur de croire !
Rachetés du Seigneur,
Ensemble chantons : Gloire,
Gloire au Sauveur !
Au delà du ciel bleu, bien loin de cette terre,
Pour nous, jeunes enfants, qui connaissons Jésus,
Il est un doux repos dans la maison du Père,
Où le péché, la mort, la douleur ne sont plus.
Au-delà du ciel bleu se trouve une demeure,
Où le Sauveur lui-même un jour nous recevra.
Dans un bonheur parfait nous verrons à toute heure
L’Agneau saint qui pour nous à la mort se livra.
Au-delà du ciel bleu, l’Ami le plus fidèle,
Jésus, nous aime et suit notre course ici-bas.
Il nous guide et soutient ; si notre pied chancelle,
Lui-même nous relève et raffermit nos pas.
Au-delà du ciel bleu, une sainte couronne,
Une harpe divine aux sons harmonieux,
Un vêtement sans tache où la gloire rayonne,
Sont préparés pour ceux qui marchent vers les cieux.
Au-delà du ciel bleu, dans la gloire éternelle,
Ah ! fixons nos regards, arrêtons notre cœur
Sur Jésus, et qu’à lui, dont l’amour nous appelle,
À jamais soient louange, obéissance, honneur !
Les rachetés du Seigneur,
Ô grâce, ô gloire, ô bonheur !
Seront autour du trône.
Voyant l’Agneau divin,
Ils célébreront sans fin
Son amour éternel
Qui resplendit dans le ciel.
Ils diront, pleins de ferveur,
« Digne, digne es-tu, Seigneur,
D’être exalté sans cesse ! »
Oh ! qu’ils seront heureux,
Dans les saints parvis des cieux,
Toujours avec Jésus,
Où la mort ne sera plus.
Et, dans ce chœur triomphant,
On verra tout jeune enfant
Qui croit à la Parole.
Oui, tous ensemble heureux,
Près du Sauveur glorieux,
Dans l’éternel séjour,
Nous goûterons son amour.
Cité d’or, ô ville sainte !
Qui foulera tes parvis ?
Qui, dans ta céleste enceinte,
Près de Dieu peut être admis ?
Le pécheur, de ses souillures
Dans le sang de Christ lavé,
Seul franchit tes portes pures :
Il est saint, il est sauvé.
Remplis d’une sainte allégresse,
En tes murs il entrera ;
De Jésus, de sa tendresse,
À jamais il jouira.
Il contemplera la gloire
Du saint Agneau mis à mort ;
Il chantera sa victoire
Dans un éternel transport :
« Gloire à celui qui nous aime !
À lui force et majesté !
À Jésus, gloire suprême
Dans toute l’éternité ! »
Bien loin des luttes de la vie,
De la peine et de la douleur,
Se trouve pour l’âme ravie
Un lieu de repos, de bonheur.
Et ma demeure est là ! (bis)
Là tout est paix, joie et lumière ;
Des saints c’est l’éternel séjour ;
C’est l’heureuse maison du Père
Où de Jésus brille l’amour.
Et ma demeure est là ! (bis)
Et bientôt le Sauveur qui m’aime
M’introduira dans ce saint lieu ;
Là je serai, bonheur suprême !
Avec lui, toujours près de Dieu,
Car ma demeure est là ! (bis)
Dans la pure lumière,
Plus haut que le ciel bleu,
Est la maison du Père,
La demeure de Dieu.
Un repos ineffable
Règne dans ce séjour ;
La paix inexprimable
De l’éternel amour.
C’est ta présence, ô Père !
Qui remplit ce saint lieu
D’amour et de lumière :
C’est ton repos, ô Dieu !
Et c’est là qu’est ma place ;
Dans l’éternel bonheur !
Là me conduit ta grâce,
Ô Jésus, mon Sauveur !
À toi rendu semblable,
Je vais bientôt, Seigneur,
Voir ton front adorable
Couronné de splendeur ;
Et dans ce lieu de gloire,
Durant l’éternel jour,
Je dirai ta victoire,
Ô Fils du Dieu d’amour !
Il est un pays magnifique,
Sans péché, douleur, ni chagrin,
Où des élus le saint cantique
Vers l’Agneau montera sans fin.
Refrain :
Venez tous, venez tous,
Venez dans ce beau pays promis ;
Venez tous, venez tous,
Venez dans le paradis.
C’est le pays de la lumière,
Du vrai repos et de la paix ;
C’est là, dans la maison du Père
Que le bonheur règne à jamais.
Venez tous, etc.
C’est le pays de la promesse
Où Jésus nous introduira,
Où notre cœur, plein d’allégresse,
Avec amour le bénira.
Venez tous, etc.
Bien plus près que les anges,
Tout près de notre Dieu,
Nous dirons ses louanges
Dans le céleste lieu.
Nous aurons la couronne,
En mains la harpe d’or,
Vers Jésus, sur son trône,
Nos chants prendront l’essor.
Nous n’aurons plus à craindre
Ni peines, ni douleurs ;
Nul sujet de nous plaindre,
Ni de verser des pleurs.
Contemplant tous la face
Du Sauveur plein d’amour,
Nous chanterons sa grâce
Dans l’éternel séjour.
Si notre cœur embrasse
Ce destin glorieux,
C’est que Dieu, par sa grâce,
Nous forma pour les cieux.
Ainsi, dès notre enfance,
Servons tous le Sauveur,
Et, remplis d’espérance,
Marchons vers ce bonheur.
Heureux l’enfant qui, sentant sa misère,
Près du Sauveur est venu s’abriter !
Jésus l’accueille et Dieu devient son Père ;
Il est en paix ; rien ne peut l’agiter.
Heureux l’enfant qui, marchant sur la trace
Du bon Berger qui se donna pour lui,
Prête l’oreille à la voix de sa grâce :
Il trouve en lui son sûr et ferme appui.
Vienne à sonner pour lui la dernière heure,
Il ne craint point : son cœur repose en paix ;
Vers Dieu son Père, en sa sainte demeure,
Heureux enfant, il s’en va pour jamais.
Pourquoi vint-il sur cette terre
Pour partager ici-bas notre sort ?
Pourquoi vint-il dans ce lieu de misère
Pour endurer la souffrance et la mort ?
Pour nous sauver, Jésus laissa la gloire
Qui l’entourait dans la splendeur des cieux ;
Il est venu, Victime expiatoire,
Nous apporter un salut glorieux. (bis)
Pourquoi Jésus naît-il dans l’indigence,
Lui, le Très-haut, lui, le Prince de paix,
Au lieu de naître au sein de l’opulence,
Comme le fils d’un roi dans son palais ?
Jésus est né dans une obscure étable
Pour nous montrer, enfants, l’humilité ;
Ce Roi du ciel, ce Sauveur adorable,
Dès son berceau choisit la pauvreté. (bis)
Pourquoi Jésus a-t-il, sur cette terre,
Lui, saint et pur, supporté tant de maux ?
Pourquoi fut-il, sur la croix du Calvaire,
Bien qu’innocent, cloué par des bourreaux ?
Il a souffert, mais sa douleur expie
Tous les péchés qui nous fermaient le ciel,
Jésus est mort pour nous donner la vie
Et, près de Dieu, le bonheur éternel. (bis)
Une nacelle, en silence,
Vogue sur un lac d’azur ;
Tout doucement elle avance
Sous un ciel tranquille et pur.
Mais soudain le vent s’élève,
Chassant un nuage noir,
{Et les vagues qu’il soulève
Font trembler, car c’est le soir.} (bis)
Grande alors est la détresse
Des voyageurs éperdus ;
Grande est aussi leur faiblesse,
Leur foi ne les soutient plus.
Mais il en est Un qui veille
Sur eux tous, bien qu’endormi,
{Ah ! faudra-t-il qu’on l’éveille !
N’est-il plus leur tendre Ami ?} (bis)
Maître, es-tu donc insensible ?
Tu le vois, nous périssons !
Tout miracle t’est possible,
Sauve-nous, nous t’en prions !
D’eux aussitôt il s’approche.
Puis il dit au vent : Tais-toi !
{Et tendrement leur reproche
D’avoir eu si peu de foi.} (bis)
Ainsi, souvent dans la vie,
L’orage assombrit nos cœurs ;
Bien que pour nous Jésus prie,
Prêt à calmer nos terreurs.
Comptons mieux sur sa tendresse,
Son cœur ne saurait changer ;
{De ses brebis en détresse,
Il est toujours le Berger.} (bis)
Sur toi je me repose,
Ô Jésus, mon Sauveur !
Faut-il donc autre chose
Pour un pauvre pécheur ?
Conduit par ta lumière,
Gardé par ton amour,
Vers la maison du Père
Marchant de jour en jour…
Refrain :
Sur toi je me repose,
Ô Jésus, mon Sauveur !
Faut-il donc autre chose
Pour un pauvre pécheur ?
Au plus fort de l’orage,
Tu te tiens près de moi,
Ranimant mon courage,
Et soutenant ma foi ;
C’est dans ton cœur qui m’aime
Que tu sais me cacher,
En vain Satan lui-même
Voudrait m’en arracher... .
Sur toi je me repose, etc.
En toi j’ai la victoire,
La paix, la liberté ;
À toi je rendrai gloire
Durant l’éternité !
Si du bonheur qui passe
La source doit tarir,
C’est assez de ta grâce
Pour vivre et pour mourir... .
Sur toi je me repose, etc.
Jadis, dans la nuit sombre,
Quelques bergers pieux
Voient resplendir dans l’ombre
Une clarté des cieux.
Du Seigneur c’était l’Ange
Venant en ce séjour
Dire l’histoire étrange
De Christ, de son amour.
« C’est un heureux message »,
Dit-il, « n’ayez pas peur ;
Dans le prochain village
Vous est né le Sauveur ».
Ô merveille ineffable !
Les bergers ont bientôt
Trouvé dans une étable
L’Enfant, Fils du Très-haut.
Jésus, rempli de grâce,
Grandit en sainteté,
Marchant devant la face
Du Dieu de vérité.
Il fut constamment sage,
Soumis à ses parents,
Et, durant son jeune âge,
Modèle des enfants.
Jésus venait du Père,
En ce triste séjour,
Répandre la lumière,
Manifester l’amour.
Il donnait aux coupables
Le pardon et la paix ;
Vers lui les misérables
Avaient toujours accès.
Pris par des mains impures,
Lui, le grand Roi des rois,
Sans défaut, sans souillures,
Est cloué sur la croix.
Mais c’est pour nous qu’il souffre,
Il meurt pour le pécheur ;
Il nous sauve du gouffre
De l’éternel malheur.
Par la gloire du Père
Jésus ressuscité
Dans la céleste sphère
Glorieux est monté.
Puissant et divin aide,
Pour nous, dans le saint lien,
Il prie, il intercède,
Sans cesse auprès de Dieu.
Du ciel, ceint de lumière,
Jésus va revenir ;
Dans la maison du Père
Il veut nous réunir.
Nous irons voir sa gloire
Au céleste séjour
Et là dire l’histoire
De son divin amour.
De Canaan, quand verrons-nous
Le céleste rivage ?
Vers le Jourdain, entendez-vous ?
Christ nous appelle tous.
Près de lui, doux partage !
À l’abri de l’orage,
Nous pourrons chanter à jamais
Le cantique de paix.
Refrain :
Oh ! quel parfait bonheur !
Quel bonheur ! quel bonheur !
Oh ! quel parfait bonheur !
Après tant de labeur ;
Pour toujours réunie
L’Église, en sa patrie,
Entonnera l’hymne sans fin :
Gloire à l’Agneau divin !
Vêtus de blanc, les rachetés
De Christ verront la gloire.
Par sa vertu ressuscités,
Ils diront ses bontés.
Célébrant sa victoire,
Son œuvre expiatoire,
Autour de son trône, avec eux,
Nous lui rendrons nos vœux.
Oh ! quel parfait bonheur ! etc.
Si dans les cieux, pour un pécheur
Qui vient à repentance,
Les anges saints, d’un même cœur,
Bénissent le Seigneur,
Quelle réjouissance,
Lors de la délivrance
De tout son bien-aimé troupeau
Triomphant du tombeau !
Oh ! quel parfait bonheur ! etc.
En Canaan, ce beau séjour,
Pays de la promesse,
Rassemblés enfin tous un jour
Par le divin amour,
Nous chanterons sans cesse
L’hymne de l’allégresse,
Qui retentira dans le ciel
Au matin éternel.
Oh ! quel parfait bonheur ! etc.
De ce grand jour d’éternité,
Quand brillera l’aurore,
Tous consommés dans l’unité
Et dans la charité,
À celui qu’on adore
Nous redirons encore :
Digne est l’Agneau de recevoir
Force, empire et pouvoir !
Oh ! quel parfait bonheur ! etc.
Jésus aime les petits ;
Dans ses bras, il les a pris,
Alors que sur le chemin, il allait, faisant du bien.
De sa voix douce, il les presse
De recevoir sa tendresse.
«Oh! merci, merci, Seigneur,
Tu nous aimes, quel bonheur!»
Jésus garde les enfants ;
Ses soins pour eux sont touchants ;
Dans leur sommeil ou leurs jeux,
Toujours il veille sur eux.
Sa douce main ne se lasse
De les bénir, quelle grâce !
«Oh ! merci, merci, Seigneur,
Tu nous portes sur ton coeur !»
L’enfant même tout petit,
Peut servir Jésus aussi,
Quand il est obéissant,
Soumis, aimable et content ;
Quand joyeusement il donne
Et qu’à son frère il pardonne.
«Daigne augmenter notre ardeur
À te servir, bon Sauveur !»
Je suis petit, mais quelle grâce !
Du bon Berger je suis l’agneau.
Il a voulu me donner place
Tout près de lui dans son troupeau.
Ah ! que je mette, (bis)
Ô bon Sauveur !
Sous ta houlette, (bis)
Mon jeune coeur.
Je suis petit, dans la faiblesse :
Jésus ne me délaisse pas.
Objet des soins de sa tendresse,
Il me soutient à chaque pas.
Ah ! que je mette, etc.
Je suis petit, pourtant ma vie
Est d’un grand prix devant ses yeux,
Car il mourut — grâce infinie ! —
Pour me donner accès aux cieux.
Ah ! que je mette, etc.
Je suis petit, en sa présence,
À tout jamais, dans ses parvis,
Je chanterai l’amour immense
Du Dieu Sauveur et de son Fils.
Ah ! que je mette, etc.
Jésus, mon Sauveur, est puissant
Pour me garder, pour me garder ;
Si mon chemin devient glissant,
Il me sauvera du danger
Le Seigneur m’aime,
Bonheur suprême,
Le Seigneur m’aime, Il est amour !
Je redirai toujours :
Le Seigneur m’aime, (bis)
Il est amour !
En sacrifice
À la justice,
En sacrifice,
Il vint s’offrir.
Je redirai toujours :
Le Seigneur m’aime, (bis)
Il est amour !
Le poids immense
De mon offense,
Le poids immense
Tomba sur Lui.
Je redirai toujours :
Le Seigneur m’aime, (bis)
Il est amour !
À toi la gloire
Et la victoire,
À toi la gloire,
Agneau de Dieu !
Je redirai toujours :
Le Seigneur m’aime, (bis)
Il est amour !
Fidèle au conseil divin,
D’un coeur ferme et sûr,
À la cour d’un roi païen
Daniel resta pur.
Rappelons-nous aujourd’hui
Ce que fit Daniel
Et soyons tous comme lui
Des témoins du ciel !
Épié tout à l’entour
Et malgré la loi,
Il priait trois fois le jour,
Ferme dans sa foi.
Comme Daniel, ayons tous
Un but arrêté
Et maintenons à genoux
Notre fermeté.
Calme, au milieu d’ennemis,
Daniel honorait
Sans crainte et sans compromis
Son Dieu qu’il aimait.
Nous aussi, pour le Sauveur,
En son nom si beau,
Sachons montrer la couleur
De notre drapeau !
Comme les vierges, dans la parabole,
Seigneur Jésus, nous sommes endormis !
Beaucoup des tiens, oubliant ta Parole,
Sont devenus du monde les amis.
Mais tous repris dans notre conscience,
À toi Jésus nous crions à genoux !
De notre coeur chasse l’indifférence,
Réveille-nous, Seigneur, réveille-nous !
Préoccupés des choses de la terre,
Nous avons tous oublié tant de fois
La chose, ô Dieu, qui seule est nécessaire,
D’être à tes pieds et d’écouter ta voix !
Mais à nos coeurs, ton Esprit fait entendre
Que des hauts cieux déjà revient l’Époux !
Avec ferveur, nous désirons l’attendre :
Réveille-nous, Seigneur, réveille-nous !
Hélas ! caché dans une aride terre,
Plus d’un talent, Seigneur n’a rien produit !
Autour de nous, notre faible lumière
N’a pas brillé pour éclairer la nuit.
Mais nous voulons, pendant la dernière heure,
Porter du fruit pour toi, travailler tous,
Jusqu’au moment d’entrer dans ta demeure.
Réveille-nous, Seigneur, réveille-nous !
Blessé pour moi, (bis)
Oui, sur la croix,
Il fut blessé pour moi !
Tous mes péchés devant Dieu ne sont plus,
Tous effacés par le sang de Jésus.
Sa grâce me suffit, (bis)
Car dans ma faiblesse,
Sa force s’accomplit,
Psaume 119:18
Ouvre mes yeux, (bis)
Et je verrai les merveilles
Qui sont dans ta loi. (bis)
Ésaïe 43:1
Ne crains pas, car je t’ai racheté ;
Par ton nom je rai appelé,
Ne crains pas, tu es à moi ! (bis)
Matthieu 11:28, 29, 30
«Venez à Moi», nous dit Jésus ;
«Prenez mon joug sur vous,
Apprenez de moi,
Car mon joug est aisé
Et mon fardeau léger».
Matthieu 19:14
Laissez venir à moi
Les petits enfants,
Et ne les empêchez pas ;
Car à de tels est le royaume
Des cieux, des cieux.
Romains 6:23
Les gages du péché,
C’est la mort, (bis)
Mais le don gratuit de Dieu, de Dieu, c’est la vie éternelle
En Jésus-Christ notre Seigneur. (bis)
Jean 3:16
Car Dieu a tant aimé la monde,
Qu’il a donné son Fils unique,
Afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, ne périsse pas,
Mais qu’il ait la vie éternelle.
Actes 16:30, 31
Que dois-je faire pour être sauvé ? (bis)
Crois au Seigneur Jésus, (bis)
Et tu seras sauvé !
Oui, crois au Seigneur Jésus,
Et tu seras sauvé !
Hébr. 10:37 Apoc. 22:20
Encore un peu de temps,
Et celui qui vient viendra ;
Car il ne tardera pas !
Amen, viens, Seigneur Jésus ! (bis)
Par grâce vous êtes sauvés. (bis)
Cela ne vient pas de vous,
Mais c’est le don de Dieu. (bis)
Non point par les œuvres sauvés, (bis)
Mais par la foi (bis),
Pour ne pas vous glorifier,
Par grâce vous êtes sauvés.
1 Pierre 3:18
Christ a souffert une fois pour les péchés,
Christ a souffert pour les péchés,
Lui, le juste,
Pour nous injustes,
Afin de nous amener à Dieu.
1 Jean 1:9
Si nous confessons nos péchés,
Il est fidèle et juste
Pour nous pardonner nos péchés, nos péchés,
Et nous purifier de toute iniquité.
À Jésus-Christ chantons un saint cantique 36
Au delà du ciel bleu 68
Aux enfants de votre âge 20
Avançons-nous joyeux, toujours joyeux 52
Bien loin des luttes de la vie 71
Bien plus près que les anges 74
Blessé pour moi, blessé pour moi 87
Bon Sauveur, Berger fidèle 6
Car Dieu a tant aimé le monde (Jean 3:16) 94
C’est Dieu qui nous aime 55
C’est encor temps ! 28
Chantons, chantons sans cesse 37
Chaque jour de ma vie 65
Christ a souffert (1 Pierre 3:18) 98
Cité d’or, ô ville sainte ! 70
Comme les vierges, dans la parabole 86
Connais-tu le bon Berger ? 15
Dans la pure lumière 72
De Canaan quand verrons-nous 80
De Dieu la parole 1
Dieu nous accorde ces instants 2 Î
Écoutez tous une bonne nouvelle 34
Encore un peu de temps (Hébreux 10:37) 96
Enfant, le connais-tu, le bien-aimé du Père 22
Enfants, célébrons du Sauveur 30
Enfants, il est une fête 19
En quittant l’école 4
Être un agneau 25
Fidèle au conseil divin 85
Gloire à Dieu ! force, puissance 35
Heureux celui qui n’aspire 43
Heureux l’enfant qui, sentant sa misère 75
Il est un pays magnifique 73
Il est un roc séculaire 61
Il est un sentier de lumière 60
Jadis, dans la nuit sombre 79
J’ai deux petits yeux 11
J’aime écouter le beau récit 53
J’entends, j’entends ! Quel bonheur ! 59
Je suis petit, mais quelle grâce ! 82
Jésus aime les petits 81
Jésus est notre ami suprême 56
Jésus frappe à votre porte 7
Jésus m’aime, Moi petit 49
Jésus ! mon Fort et mon Rocher 50
Jésus, mon Sauveur, est puissant 83
Laissez venir à moi (Matthieu 19:14) 92
Le bonheur, la paix que Jésus donne 44
Le Seigneur Jésus invite 21
Le Seigneur m’aime, Bonheur suprême 84
Le Seigneur nous appelle 29
Les gages du péché (Romains 6:23) 93
Les rachetés du Seigneur 69
Louons de tout notre coeur 31
Louons Jésus par qui Dieu nous pardonne ! 39
Maître débonnaire 12
Mon coeur joyeux, plein d’espérance 47
Ne crains pas, car je t’ai racheté (Ésaïe 43:1) 90
Nous t’adorons, Seigneur de gloire 40
Nul enfant n’est trop petit 16
Oh ! fais que je t’aime 10
Oh ! quelle paix parfaite 51
Oh ! que ton nom, Sauveur fidèle 38
Ô Seigneur ! bénis la parole 5
Oui, le souverain bien-être 48
Ouvre mes yeux (Psaume 119:18) 89
Ô vous qui n’avez pas la paix ! 24
Par grâce vous êtes sauvés (Éphésiens 2:8) 97
Petit enfant, Jésus t’appelle 18
Pour moi l’aurore d’un nouveau jour 9
Pourquoi Jésus vint-il sur cette terre 76
Quand Jésus suivit le chemin de la mort 66
Que dois-je faire pour être sauvé ? (Actes 16:30) 95
Quel autre ai-je aux cieux 45
Quelques mots à Jésus 63
Qui donc soutiendra ma faiblesse 42
Sa grâce me suffit 88
Sauveur plein de tendresse 3
Seigneur Jésus, en toi j’espère 13
Seigneur, par ta sagesse 8
Seigneur ! sanctifie nos jours, nos moments 14
Servons tous dès notre enfance 41
Si nous confessons nos péchés (1 Jean 1:9) 99
Si vous saviez quel Sauveur je possède ! 62
Suivez, suivez l’Agneau 32
Sur toi je me repose 78
T’aimer, Jésus, te connaître 46
Tel que je suis, sans rien à moi 57
Tous les matins, tous les soirs 26
Tout entier pour Jésus-Christ 54
Tu vins du ciel, Berger fidèle 64
Une belle patrie rassemble aux cieux 67
Une bonne nouvelle descend des cieux 33
Une nacelle, en silence 77
Venez à moi (Matthieu 11:28) 91
Venez au Prince de la vie 17 23
Venez au Sauveur qui vous aime 58
Vers le ciel ! Vers le ciel ! 27
Viens à Jésus : Il t’appelle